mercredi 31 décembre 2014
Retour
Des souvenirs épars
Élan pour un nouveau départ
Retour case cafard
De trahison en déception
D’omission en sinistre farce
J’ai enfin touché le fond
D’un coup de talon, je refais surface
-Apaisement neuronal
Et décrue lacrymale
Retour à l’état normal
Dans le vide confortable
De mon cerveau coton
Dernier acte de la fable
Il est minuit Cendrillon
-Dissolution d’un fantasme
D’un parfum ectoplasme
Retour hors des miasmes
Flagrance ultime
Du trauma amoureux
Dernières rimes
Sur peut-être demain nous deux
-Épuisement du mode dépression
Craquelure finale du cocon
Retour au soleil papillon
Transition post-mortem
Vide réincarnatoir
Fin de stock des je t’aime
Porte ouverte chez l’espoir
-Érections citadines
Jeans moulants, strings gamines
Retour des filles vitrines
Fin de deux amours
Et une amitié qui s’éteint
Je revois poindre le jour
Au travers des jupes du matin
-Cœur à nouveau mortel
Attente du k(r)iss sacrificiel
Retour souriant sur l’autel
Vague nostalgie pin-up
Et vestige de mélancolie
Paré pour le check-up
Sas-transfert pour prochaine vie
-Plus d’errances éthyliques
Dans un No man’s land cosmique
Retour dans les rues bucoliques
Les noires idées de ton prisme
Sont classées hors saison
Effet secondaire priapisme
Et merci pour le poison
J-L Overney 1er novembre 2005
mardi 30 décembre 2014
Tu t'es barrée, ce n'est pas un drame
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
Puisque tu peux très bien vivre sans moi
Tu ne me laisses pas d’autre choix
Ce sont les derniers mots que je t’adresse
Même si je regrette un peu tes fesses
Ta chatte et tes nichons
Va les offrir à d’autres cons
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
Pourquoi regretter une salope
Au cul plus chaud qu’le bout d’une clope
Au cerveau de petite fille
Incapable d’résister à ses envies
Qui te jure fidélité
Et te trompe dès qu’t’as l’dos tourné
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
Nous n’sommes plus un couple, j’ai compris
Tu n’es pas la femme de ma vie
D’ailleurs tu n’seras celle de personne
Quand comprendras-tu pauvre conne
Qu’on ne peut pas faire une vie à deux
En sautant de queue en queue
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
Je n’t’en prédis pas autant
Tu chialeras encore bien souvent
Tu dis qu’t’es pas degueulasse
Dans les sanglots d’une crise d’angoisse
T’es fragile, les mecs en profitent
Quand tu te frottes contre leur bite
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
Ou alors des larmes de colère
J’peux pas t’en vouloir quelle misère
Quand je regarde nos photos
J’y peux rien, j’éclate en sanglot
Dans le cadre, il n’est jamais très loin
L’enculé de meilleur copain
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
Mon cœur se rempli de regret
De ne plus posséder ta beauté
Pas d’soutiens-gorge sur tes tétons
Tu excitais tous les garçons
J’étais jaloux mais tellement fier
D’en être l’unique propriétaire
Tu t’es barrée, c’n’est pas un drame
Je ne verserai plus de larme
J’ai envie de toi, j’sais qu’tu t’en fous
Mais j’suis toujours amoureux fou
Tu n’m’aimes plus, tu n’veux plus rien
Faire avec moi, ce n’s’rait pas sain
Ce s’rait pas un drame si de temps en temps
Tu me laissais être ton amant
J-L Overney , le 14 octobre 05
à fredonner la-dessus.
lundi 29 décembre 2014
I took the train
Martine, I used to give you all of my heart
But you leave me and torn it apart
I’m empty, my passion never restart
I won’t never try to love again
Martine, I won’t try to love again and I know
The last cut will be the deepest
I’m waiting the train, the last cut will be the deepest
Because if I have the guts to jump
When it comes it stop my heart to bump
The train is better than the knife or the rope
‘cause I never had so less hope
My mind is running in circle, I must stop
I won’t never try to love again (tryyy)
Martine, I won’t try to love again and I know
The last cut will be the deepest
I’m waiting the train, the last cut will be the deepest
Because if I have the guts to jump
When it comes it stop my heart to bump
(SOLO)
The problems resolves at the railstation
Can I live without you, that’s no more the question
Martine, To get you out of my head
I just have to go one step ahead (go one step ahead...)
I won’t never try to love again and I know
The last cut will be the deepest
I’m waiting the train, the last cut will be the deepest
Because if I have the guts to jump
When it comes It stop my heart to bump
The last cut will be the deepest
I’m waiting the train The last cut will be the deepest
I won’t try to love again...
Martine, I used to give you all off my heart
I jumped, the train cuts my corpse in three parts.
I’m dead, my passion never restart
I won’t never try to love again
Martine, I won’t try to love again and I know
The last cut been the deepest
I’m under the train The last cut been the deepest
Because I had the guts to jump
When it comes It stops my heart to bump
In extenso
J-L Overney 29 septembre 05
d’après the first cut is the deepest de Cat Stevens repris par Sheryl Crow
dimanche 28 décembre 2014
samedi 27 décembre 2014
vendredi 26 décembre 2014
Ta bague
En guise de doigt d’honneur
J’ai mis ta bague au majeur
Et ton souvenir à l’index
Je n’m’attend pas à c’que ça t’vexe
Il me le dit mon p’tit doigt
Tu resteras pas seule un mois
T’auras tous les mecs de la terre
Pas b’soin d’chercher dans l’annulaire
J’dis pouce
Cette bague je l’aime bien
Elle ne quittera pas ma main
Elle déménage juste en douce
Comme toi ! J’dis Pouce !
Y a des souvenirs qui font du bien
Surtout qu’ils remontent pas à loin
À Bruxelles, je sifflais des mousses
Avec toi ! J’dis Pouce !
Demain nous partons à Dublin
Notre dernier voyage en commun
Le pays des pintes et des rousses
Fini les brunes ! J’dis Pouce !
On se dit adieu on s’serre la main
Et l’on se quitte bon copain
Vivre sans toi m’fous un peu la frousse
Bah, ça passera ! J’dis pouce !
J-L Overney 05
jeudi 25 décembre 2014
Tu ne veux plus vivre avec moi
Tu ne veux plus vivre avec moi
Malheureusement tu m’aimes encore
Mais aie confiance, ça passera
Et tu partiras sans remords
À force de ne plus se voir
Qu’en coup de vent tard le soir
Dans cet appartement, qui te fout le cafard
Même dans le brouillard d’un pétard
Tu rêves de chevaux sur l’horizon
De tournesol et de nature
Sans doute que d’autres te l’offriront
Moi mes fins de mois sont dures
Je suis un simple ouvrier
Et je manque d’ambition
Payer les courses, le loyer
Et les vacances, je sais c’est con
Après toi, j’aurais du mal
À croire encore à l’amour
Cet insaisissable animal
Viendra plus jouer dans ma cour
Vu que le sexe sans sentiment
J’en ai suffisamment fais l’tour
C’est sans femme et sans enfant
Que je finirais mes jours
Nous n’nous croiserons plus souvent
Quand t’auras ton appartement
Et ton second enfant
Qu’tu veux avant tes 35 ans
Étant donné qu’t’es lasse
Des apéros et des bistros
Et qu’ça m’étonnerait que j’décrasse
Me poumons en faisant du vélo
Et si un jour je percute
Assise à la table d’un café
Une fleur qui me culbute
L’esprit comme tu l’as fait
Je la traiterais comme une pute
Et rentrerai chez moi pleurer
Moins dure est la chute
Quand on évite de s’envoler
C’n’est pas une chanson d’adieu
C’est un appel au secours
Je veux qu’on vive heureux
Tous les trois pour toujours
J’te promets de faire des efforts
Même s’il n’y a qu’une chance infime
Que notre amour ne soit pas mort
Et qu’il survive à nos déprimes
Remettons les pendules à l’heure
Et reprenons depuis le début
Je veux reconquérir ton cœur
Et aussi ton cul
Je tairais ma jalousie
Et plutôt que m’inquiéter
J’t’accompagnerais dans tes sorties
Et te regarderai danser
Il reste l’insurmontable problème
C’est ton envie d’un enfant
Tu en as déjà un et je l’aime
Et je me sens pas prêt pour l’instant
Si tu pars chercher un père
Je t’en supplie réfléchi
À c’que tu gagnes, à c’que tu perds
Aux risques du pari
Ce ne sont pas des menaces
Et si tu me disais demain
Dans les yeux bien en face
Qu’t’as trouvé l’père de ton gamin
Et qu’il t’aime autant que moi
Alors je serrerais les dents
Pour vous souhaiter bonheur et joie
Et t’en remettre au vent
J-L Overney, le 28 juillet 2005
mercredi 24 décembre 2014
Jamais s'arrêter
J’en ai marre d’entendre les confessions
De vieilles rock stars cherchant l’absolution
Elles stoppent le Ricard la coke et le bourbon
Moi j’préfère les motards qui finissent sous un camion
J’aime les piliers d’bar imbibés de picon
Dans ma mémoire ils ont vécu à fond
Comme Léotard ou le professeur Choron
Putes et cigares et sans compromission
Si t’as jamais allumé le contact
Si t’as jamais avec le diable conclu un pacte
Reste chez toi garde ta petite vie intacte
Sinon fonce réjouis toi de l’impact
Il faut surtout (surtout)
Jamais s’arrêter
Aller jusqu’au bout
Le pied au plancher
Il faut surtout (surtout)
Jamais freiner
Le tout pour le tout
Rien à perdre tout à gagner
Certaines vieilles gloires chantre du rock satanique
Veulent nous faire croire aux récits bibliques
Et ces bâtards élisent démocratique
Super connard président d’Amérique
Si t’as jamais allumé le contact
Si t’as jamais avec le diable conclu un pacte
Reste chez toi garde ta petite vie intacte
Sinon fonce réjouis toi de l’impact
Il faut surtout (surtout)
Jamais s’arrêter
Aller jusqu’au bout
Le pied au plancher
Il faut surtout (surtout)
Jamais freiner
Le tout pour le tout
Rien à perdre tout à gagner
Si t’as jamais allumé le contact
Si t’as jamais avec le diable conclu un pacte
Reste chez toi garde ta petite vie intacte
Sinon fonce réjouis toi de l’impact
Il faut surtout (surtout)
Jamais s’arrêter
Aller jusqu’au bout
Le pied au plancher
Il faut surtout (surtout)
Jamais freiner
Le tout pour le tout
Rien à perdre tout à gagner
Pas si coton de rester un rebelle
Quand les bif’tons se ramassent à la pelle
Une bonne façon c’est de se faire la belle
Avant d’être con James Dean est immortel
Si t’as jamais allumé le contact
Si t’as jamais avec le diable conclu un pacte
Reste chez toi garde ta petite vie intacte
Sinon fonce réjouis toi de l’impact
Il faut surtout (surtout)
Jamais s’arrêter
Aller jusqu’au bout
Le pied au plancher
Il faut surtout (surtout)
Jamais freiner
Le tout pour le tout
Rien à perdre tout à gagner
Il faut surtout (surtout)
Jamais s’arrêter
Aller jusqu’au bout
Le pied au plancher
(ad libidum)
J-L Overney 11 février 2005
Inspiré par Personne.
mardi 23 décembre 2014
Pluchon
Mon ami Stéphane est surnommé Pluchon, il m'est donc revenu l'honneur d'écrire la chanson de son enterrement de vie de garçon.
Stéphane, Stéphane
Mon petit Pluchon
Tu l’aimes et tu glisses
La bague au doigt de Samira
Stéphane, Stéphane
Qu’elle fasse attention
De n’pas oublier
Qu’t’a été un méchant garçon
T’étais un punk, un vrai rebelle
À côté de ton frère Yvan
Les dents pétées à coup d’bretelles
Tu faisais peur à tes parents
Sainte Françoise et brave Denis
Font dodo aux Berthoudes 26
Sont réveillés par le taxi
Qui t’ramène bourré du Comix
Stéphane, Stéphane
Mon petit Pluchon
Tu l’aimes et tu glisses
La bague au doigt de Samira
Stéphane, Stéphane
Tu fais attention
Tu payes tes impôts
Tu a retourné ton blouson
T’es un adulte responsable
Maintenant tu coupes ta forêt-Noire
Tu roule plus dessous la table
Sauf quand tu fumes un pétard
Plus de jeu de rôle ni de tabac
Tu maquilles plus les mobylettes
Tu dragues les filles en Cagiva
Et tu t’les tapes sur Internet
Stéphane, Stéphane
Mon petit Pluchon
Tu l’aimes et tu glisses
La bague au doigt de Samira
Stéphane, Stéphane
Fais bien attention
Nous te souhaitons le bonheur
Et r’çois nos félicitations
Nous sommes réunis aujourd’hui
Pour te rendre les derniers hommages
Pour boire des coups, en tirer aussi
En l’honneur de ton mariage
Mais nous voulons surtout qu’tu saches
Tu seras toujours notre petit ourson
Ne change pas, ne sois pas vache
Et c’est pourquoi nous te chantons
Stéphane, Stéphane
Mon petit Pluchon
Tu l’aimes et tu glisses
La bague au doigt de Samira
Stéphane, Stéphane
Fais bien attention
De ne pas t’éloigner
De tes vieux compagnons
J-L Overney, 27 janvier 2005
Bien sûr, c'est tiré de ceci.
lundi 22 décembre 2014
Walking Dead: Scott
Premier mort important et visible dans Walking Dead, la BD et c'est d'une jambe cassée.
Je relis la série et les volumes 9 à 13 sont particulièrement prenants.
Le rendez-vous des amis
Jusqu'à récemment
J'attendais l'moment
Avec une certaine impatience
Après le turbin
Le moment divin
Le temps des chants et des danses
Le moment enfin où le sent bien
Avec les copains
le moment parfait
L'heure de la récré
Pour moi c'était...
-Le rendez-vous des amis
En fin d'après-midi
Autours d'une canette
Ce moment où le temps s'arrête
Jusqu'au milieu de la nuit
On arrive dans le troquet
On r'garde qui on connaît
On s'assoit à la table
Il n'y a jamais d'indésirable
A cette heure là tout l'monde se plaît
Salut mon vieux comment ça va?
Ma foi pas mal et toi
Rien que de très banal
mais c'est bon pour le moral
De se le redire chaque fois
Et l'on est à peine assis
Que le patron surgit
Et nous amènent nos grandes
Y a même pas b'soin que l'on commande
Au rendez-vous des amis
ça c'était hier
Aujourd'hui quelle misère
Je n'ai plus vraiment le coeur
D'aller boire une bière
De retrouver mes frères
Après une journée de labeur
J'préfère rentrer direct
L'bistrot ça m'débecte
J'trouve ça infect
D'supporter des cons
Au débit de boisson (J'rentre à la maison)
-Le rendez-vous des amis
Tu parles d'une connerie
Des copains tout au plus
Caresse de chien amène des puces
C'est c'que ma mère m'a toujours dit
On s'connait d'puis trop longtemps
Pour être encore confiant
Pour parler de choses intimes
Et on parle, ça me déprime
De la pluie et du beaux temps
Chacun a fait une fois l'erreur
D'ouvrir tout grand son coeur
Tu dis rien c'est juré
Et de l'entendre répété
Comme avec un haut-parleur
L'amitié n'a pas de prix
A la mort , à la vie
On s'présente nos amours
L'lendemain c'est l'pote qui la bourre
C'est beau L'rendez-vous des amis
Je suis nostalgique
Du moment magique
Où je débarquais dans le rade
A jeun ou bourré
Suivant ma journée
Pomponné ou complèt'ment crade
Maint'nant j'en ai marre
D'faire un tour au bar
Ca m'fout l'cafard
Je n'ai plus de plaisir
J'me force à sourire (ça m'fait plus rire)
-Le rendez-vous des amis
Où je commande mon d'mi
A un patron faux-cul
I faut pas que j'aie trop bu
Pour que j’lui accorde un sursis
Le gars qui me serre la pince
Qui me traite comme un prince
Ne semble pas comprendre
Que s'il continue à la prendre
Ses chances de survies seront minces
Car à la vérité
Si j'vais plus au café
C'est à cause de cette fille
Qu'il est impossible que j'oublie
Et qui s'fait sauter par l'taulier
ça fait un bout d'temps qu'c'est fini
Mais quand j'vois cette souris
Avec un autre amant
Je quitte précipitamment
Le rendez-vous des amis
J-L Overney, le 21 mars 2006
vendredi 19 décembre 2014
La légende de Marmotte et Blaireau
Tu me demande de t’écrire
Mais je ne sais pas quoi
Sauf que j’adore ton rire
Ton sourire et ta voix
Tu voulais que j’t’écrive un mot
Alors voici l’histoire
D’un petit blaireau
Qui était au désespoir
Autour d’une table de saloon
Avec une bande de pote
Ils faisaient les clowns
Quand surgit la marmotte
Le fard de ses yeux
Est d’une princesse égyptienne
Mais elle boit de l’eau de feu
Comme une vraie Cheyenne
En voyant la squaw
L’blaireau perdit sa verve
Ce n’est qu’au resto
Qu’il sortit de sa réserve
Je sèche devant ma page blanche
Et je n’écris rien
Je pense rêveur à tes hanches
Fermes et à tes seins
Il hurla des lunes
Invoquant un signal
De fumée ou une
Trace de son cheval
Elle le convia dans sa hutte
Au cœur d’une sombre forêt
Et ni soumise ni pute
Lui fît fumer le calumet
Malheureusement Marmotte
Avait beaucoup d’amants
Les mocassins les bottes
S’alignaient d’vant son feu de camp
Blaireau déterra la hache
Et confiant dans son totem
Il scalpa ces apaches
Et elle lui dit je t’aime
C’n’est pas à l’encre de tes yeux
Mais avec un stylo-bille
Que je décris tes cheveux
Ton nombril, tes chevilles
Ainsi s’termine l’histoire
De marmotte et blaireau
Elle vaut pas un dollar
Mais j’ai fait mon boulot
Marmotte c’est toi
Tu t’étais reconnue
Blaireau c’est moi
Mais j’vais changer de tribu
Be welcome
Dans la loge du serpent
Ou nous croquerons la pomme
J’espère très longtemps
J’aime ton nez mignon
Dans mon home sweet home
Ta chatte, ton étalon
Et ton petit homme
Chérie il faut que je me touche
J’ai une érection
J’ai hâte d’être dans ta bouche
Ton anus et ton con
J-L Overney octobre 2004
jeudi 18 décembre 2014
Le réveil auprès d'elle 1 et 2
C’est une chose dont je n’osais rêver
J’atteins le septième ciel
En quittant les bras de Morphée
Pour retrouver ceux de mon aimée
C’est un merveilleux moment le réveil auprès d’elle
Le réveil auprès d’elle
J’espère longtemps en bénéficier
Souvent goûter le sel
De sa peau légèrement mouillée
Comme un tournesol sous la rosée
Et faire l’amour tendrement
Au réveil avec elle
Je m’extirpe de mes songes
C’est déjà le matin
Je plonge la tête dans les cousins
Je me retourne je baille et je tends la main
Qui se referme sur un sein
Et soudain tout me revient
Pourquoi je dormais si bien
Cette nuit, on s’est aimé un brin
J’aurais les yeux cernés
Et le sourire au turbin
Je n’ai pensé qu’à elle
Le jour touche à sa fin
Je rentre chez moi prendre un bain
Cette nuit, je dors, j’en ai vraiment besoin
Le natel sonne c’est elle enfin !
Elle me demande si je viens
Je suis déjà presque en chemin
Le repos attendra demain
Ce soir vin, sexe et câlins
J-L Overney Septembre 2004
C’est une chose que je n’aurais plus jamais
Elle a j’té notre amour à la poubelle
Ça fait deux semaines qu’elle m’a quitté
Pour trouver celui qui lui fera un bébé
C’est un horrible souvenir le réveil auprès d’elle
Le réveil sans elle
Ne m’arrive plus puisque je ne dors plus
Depuis qu’elle s’est cassée la belle
J’essaie de m’intéresser à d’autres culs
Notre tournesol n’a pas survécu
Je regrette nos bons moments
Dans mes nuits de veille sans elle
Je m’extirpe de mes fantasmes
Je reprends un verre et le rasoir
Cette nuit dans ma folie masturbatoire
Sur mon torse je m’suis tailladé l’espoir
Je suis seul dans mon lit mais j’ai à boire
Et pourquoi j’ai tout en mémoire
Le début de notre histoire
Quand je refusais d’y croire
J’en prends un dernier pour la route
Je suis déjà presque en retard
Je n’ai pensé qu’à elle
Ou elle est avec qui elle couche ?
Je me souviens de nos séances de douche
Et de ce qu’elle sait faire avec sa bouche
Et son air de gamine qui me touche
Quand elle pleure parce qu’elle n’est pas farouche
Elle ne m’embrasse plus sur la bouche
Son natel a du perdre ses touches
Ce soir elle m’a remplacé comme Babouche
J-L Overney Septembre 2005
Si vous avez le coeur bien accroché, voyez ça.
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