vendredi 25 juin 2010

La ballade des pendus

Magnifique ballade pour accompagner un piètre dessin.
Que mon insignifiance, dans ton talent
Cher Villon, poète assassin
Condamné par pudibonds bonnes gens
Confondant mauvais garçon et Malin
Jouisseur de la Pomme de pin
Beau rebelle apostat puisse se dissoudre.
Pendu à branche, au soleil du matin.
Mon corps prie; puisse-tu, François, m'absoudre

3 commentaires:

  1. Le texte de Villon est très bon, mais tu n'as pas a rougir de ton message, il est tout aussi rechercher. Chapeau bas, je m'incline devant votre talent qui me surprend chaque fois.
    euh... t'as retrouver la planche perdue où je dois la refaire, parce que question désordre, là aussi je m'incline. Mouahahaha

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  2. Ô Yann, écrivain et scénariste
    Qui, confiant en mon trait
    Me confia une histoire d'amour triste
    Ce fut sans malheureusement compter
    Que tes planches, je (nous) pourrais perdre
    Bordel de dieux, ça fait mal au trou
    Je ne retrouve pas ta planche, merde
    Gros bisoux sur ton dur bout.

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  3. Et bravo pour les rimes, mon chou.

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