Que mon insignifiance, dans ton talent
Cher Villon, poète assassin
Condamné par pudibonds bonnes gens
Confondant mauvais garçon et Malin
Jouisseur de la Pomme de pin
Beau rebelle apostat puisse se dissoudre.
Pendu à branche, au soleil du matin.
Mon corps prie; puisse-tu, François, m'absoudre
Le texte de Villon est très bon, mais tu n'as pas a rougir de ton message, il est tout aussi rechercher. Chapeau bas, je m'incline devant votre talent qui me surprend chaque fois.
RépondreSupprimereuh... t'as retrouver la planche perdue où je dois la refaire, parce que question désordre, là aussi je m'incline. Mouahahaha
Ô Yann, écrivain et scénariste
RépondreSupprimerQui, confiant en mon trait
Me confia une histoire d'amour triste
Ce fut sans malheureusement compter
Que tes planches, je (nous) pourrais perdre
Bordel de dieux, ça fait mal au trou
Je ne retrouve pas ta planche, merde
Gros bisoux sur ton dur bout.
Et bravo pour les rimes, mon chou.
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