Si les yeux sont le miroir de l’âme
Les miens sont des verres miroirs
Autrefois y brûlaient des flammes
Elle furent soufflées par le blizzard
Comme dans une cabine d’essayage
Si tu me regardes bien en face
Tu ne verras que ton visage
A l’infini pris dans la glace
Cyberpunk and love junk
Cyberpunk
Attention à ne pas confondre
L’indifférence avec la peine
Si l’amour ne me fait plus fondre
Je n’éprouve plus non plus de haine
Comme une goutte de mercure
Je glisse sans laisser de trace
Je cicatrise toutes mes blessures
Jamais je ne plie ni ne casse
Cyberpunk
Il fut un temps j’étais humain
Tendre, sensible et vulnérable
Mais j’ai, de dégouts en chagrins
Remplacé mes veines par des câbles
Mon cœur par un bloc de béton
Mon cerveau par un CD-Rom
Mon sexe triste par un piston
Et mes larmes salées par du chrome
Cyberpunk and love junk
Cyberpunk and love junk
Cyberpunk and love junk
Cyberpunk
J-L Overney 30 novembre 2005
A chanter sur HFT (pour une fois).
Je crois que l'indifférence c'est encore pire que la colère, c'est le vide, le néant de soi, avant le néant du monde qui t'entoure... Je la trouve très triste cette chanson...
RépondreSupprimerCeci dit, je te souhaite une belle année, une très belle même !
Très bonne année à toi et ton entourage aussi, Galien.
RépondreSupprimerJe l'aime bien cette chanson,triste, certe mais je suis assez fier de mes rimes.