J'ai acheté le dernier Iznogoud.
Principalement parceque son dessinateur dédicaçait et que j'aime voir les gens dessiner et discuter un peu avec un collègue qui a réussi.
Ben, j'ai eu un gros coup de blues, je m'imaginais à la place de Nicolas, tout seul à sa table, quasiment personne pour lui au milieu de la foule qui commence les achats de Noël.
Ça peut expliquer l'ennui exprimé par le monsieur, désillusionné, faisant son boulot comme un employé de la maison Iznogoud.
J'espère ne jamais perdre la passion du dessin et de la BD et avoir du plaisir à rencontrer mes lecteurs.
Rien à voir, mais rencontrer M.Moorcock qui à l'air de prendre son pied, c'est autre-chose.
Quand à la BD, ben elle est bien, complètement barrée, bourrée de jeux de mot absurdes, très fidèle à mes souvenirs des premiers albums de mon enfance.
Mais je crois que je suis vraiment passé à autre chose, la BD tout public, bien formatée ne me suffit plus.
La dédicace est chouette, merci monsieur Tabary.
Ce sont des métiers bien fragiles... Et la réussite est difficile à mesurer.
RépondreSupprimerEst-ce que l'on peut dire que le mec qui doit établir un tirage au sort pour savoir qui va avoir une dédicace dans la foule en délire est plus heureux ?
J'en sais rien.
J'imagine que pour certains, ça doit satisfaire l'égo. Mais ça devient mécanique aussi. La rencontre n'est pas la même que si on a le temps de discuter...
Tu pourras bientôt l'expérimenter en dédicaçant Lupin.
RépondreSupprimeril faut se protéger des désillusions et pour ça, je pense qu'il ne faut pas trop attendre des lecteurs. un seul qui montre de l'intéret suffit
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