mercredi 25 février 2015

L'or, hors vol

Mon pote Giorgio m'a à nouveau cassé les c... heu pouf pouf, demandé de faire l'affiche de son spectacle annuel.
J'ai accepté avec plaisir pasque c'est un pote et surtout parceque je me suis fendu la gueule l'année passée.
Donc, je ne peux que vous conseiller de vous rendre à Boudry tout bientôt.



L'affiche de l'année passée

Princesse 5



mardi 24 février 2015

Les strips de Vibro-Boy et Bout Dur

Moi, c'est Bout Dur, Yann c'est Vibro-Boy (c'est lui qui a inventé ces surnoms, ça en dit long sur le bonhomme).
Il a eu l'idée de faire des strips complètement improvisés.
Les règles du jeu sont: on fait un dessin chacun, on le passe à l'autre qui dessine la suite, on repasse et on fait le dernier dessin avec, de préférence, une chute.



Tiens, une idée comme ça, on pourrait faire ça par mail, tout le monde serait bienvenu mais il faudrait pas que ça empiète sur tout nos projets en cours.

lundi 23 février 2015

BOG10




C'est un pays

Voilà! C'est la dernière chanson de mon recueil.

C’est un pays, il faut qu’j’t’en parle, vu qu’on ne peut croire qu’il soit vrai
Il y fait froid toute l’année et n’est peuplé que de taré.
Quand tu commandes une grande bière, il te regarde comme un bobet 
Vu que c’est à la bleue qu’ils ont tous été élevés.
Et qu’parmi la population, y en a très peu qui parlent français

Ce pays de mongolien est à peine répertorié
Il n’est pas dans le guide Michelin vu qu’il donne envie de dégueuler
Leurs seules spécialités c’est l’absinthe et le cannabis
Mais ils ont fermé l’usine de chanvre et changé la fée verte en pisse.
Le mongolisme congénital se transmet de père en fils

Ce pays est intellectuel, il y a même plusieurs bordels
L’ennui est que quand tu t’choppes une belle, y a le reste du troupeau qui bêle.
Faut dire qu’ils baisent des animaux, ils n’ont plus l’droit de se reproduire.
Vu que quand un mec se marrie, c’est souvent avec sa fille
Enfin faut dire pour résumé, qu’ils font tout en famille.

Quand ils se mettent à éructer c’est pour les résultats de foot
C’est la seule chose qui fasse vibrer leur cerveau qui a fait croute.
Tu m’diras : c’est ce qui les relie à l’humanité, à sa lie
Ils ont même un centre sportif pour leurs séances de sodomie
Vu qu’ils aiment bien s’accoler sous la pluie

Ce pays a un cinéma, mais personne ne veut voir ça.
Y a une radio qui offre des places, une radio du bas.
Franchement c’est courageux, dans ces lieux
D’offrir de la culture à ces gueux
Qui ne peuvent même pas se payer de la bleue.

Ce pays est déshérité, on y parque tout les tarés
Les chômeurs, les pauvres et les immigrés
Des politiciens s’y sont risqués et ont tous bien merdé
Ils sont en examen et sont contaminés
C’est ce qu’on appelle le syndrome Watch Vallée

Ce pays, disais-je, accueille tout les recalés
Si la Suisse est un chiotte, ce pays en est le siphon bouché
Il y a des centres pour les étrangers
Et un autre pour les chômeurs de longue durée.
Il s’appelle, le C.N.I.P.

Ce pays dans le pays, le Centre Neuchâtelois d’insertion professionnel
Je parle de mon expérience personnelle 
Est une magnifique tour de Babel où se côtoient toutes les races
Et surtout un immense bordel, sans le moindre semblant de classe
Si j’en parle avec plaisir, c’est que demain je me casse

Ce pays que je déteste, pourquoi y consacrer une geste ?
C’est que je commence à comprendre pourquoi des gens y restent.
C’est qu’y a toutes les personnes des pays de l’est
Tout ceux qui ont raté tout les tests
Toutes les merdes qu’on fuit comme la peste.

Ce pays a un glorieux passé, il y avait l’usine Dubied
Ça fait longtemps que la tricoteuse à pijama rayé s’est arrêtée
Les armes pour les nazis en partaient et les dents en or entraient
 On y profite toujours des pauvres et des paumés, la tradition est respectée.
Des chambres à gaz, il ne reste que la cheminée

C’est un pays comme il y en a tant, où l’on parque tout les émigrants
Qui ont toutes les combines et magouilles pour se faire de l’argent
Ils y a aussi les dealers suisses, les vendeurs de bleue et d’autres conneries
J’te jure cette montre est vraie, elle est tombée du camion sur le numéro de série
C’est la Watch Vallée, man, et j’te vend ma fille

C’est un pays ou je veux mourir, d’ailleurs, il n’y a que ça à y faire
Après, putain, que sera doux l’enfer
Au moins, il y fera chaud vu que dans ce pays : chaud est un gros mot
Si tu connais c’est pire que la Brévine et la Tchaux
Je parle pas de La Côte-aux-Fées qui s’chauffe au taser d’un facho.

C’est un pays fallait qu’j’t’en parle car j’l’ai dans le cul comme t’y crois pas
C’est où l’on met tout les rebuts mélangés à ceux qui y sont déjà
Y en a plein de ces décharges en plein air qui me foutent vraiment vénere
On devrait y mettre les enculés de l’UBS, ceux de Swisscom et les marchands de guerre
Et pendre à la Watch vallée, le dernier publicitaire.

C’est un pays tout près de la France, le pays des droits de l’homme
Ou les frouzes sont de vrais racistes ou tout comme
S’ils viennent piquer le travail en Helvétie
C’est que les bougnoules envahissent la Sarkozie
Dans ce pays, gerber est un mode de vie.

Ce pays c’est un peu la Sibérie, le Kosovo et la Bosnie, 
C’est la diarrhée quand t’as une hernie
Du sel sur les plaies, dans le cul un balai, un fion mal avalé
C’est ce que sur les manager display
Ils appellent la Watch Vallée.

C’est un pays pire que le Locle où si tu ne l’étais pas déjà
Tu sors comme une vrai loque, un rejeté, un paria
Où les gens à la gare regarde les rails en se disant pourquoi pas
Se coucher dessus une bonne fois et en finir avec tout ça
Pour survivre, je crois que je n’y retournerai pas

Dans le train qui me ramène chez moi, j’ai toujours du mal à y croire
 Mais pour finir mon histoire, tout en reprenant un verre à boire
C’est un pays dont je ne t’ai pas dit le nom merdique, un peu caché
C’est dans le Val-de-travers, pour les trous du cul, la Watch Vallée
Ce pays c’est Couvet.

Si tu veux y aller faire un tour plutôt que d’te mettre la tête dans l’four
Tu prend le train régional, dirigé par des gros lourds
Qui confondent Neuchâtel, la Chaux-de-Fond et la Tour Eiffel
Et tu verra toute la société la plus basse qui ait existé
Les consanguins et les taré, je te conseille plutôt de te flinguer.

J-L Overney  26 mai 2010


Vous pouvez la dégueuler approximativement là-dessus.


vendredi 20 février 2015

BOG9


Magali et Laurent

Le but d'une chanson de mariage n'est pas forcement d'être subtile mais de pouvoir être chantée à n'importe quelle heure de la soirée.
Le "private joke" de cette page est que le photographe du mariage a disparu et que nous ne verrons donc jamais les centaines de photos pour lesquelles nous avions posé.


Vous vous doutez que je me suis inspiré de ceci.
Putain, Aubert et HFT dans ce cirque, j'espère que c'est pour les restos du foie de Renaud.

jeudi 19 février 2015

Lannosea



40


Ben voilà, fallait qu’ça arrive.
Même si je n’pensais pas vivre
Jusqu’à ce putain 
D’âge avançé.

Il a fallu que je survive
Si loin dans mon livre
Jusqu’à ces putains
 De 40 balais.

Je pense enfin être à l’épilogue
Au moment des remerciements.
Merci à Dieu, et ,rire
Aux  techniciens.

J’ai internet et j’ai un blog.
Je suis ami avec plein de gens
Sur Facebook, c’est à dire
Seul comme un chien.

Le pire c’est que je l’ai cherché.
Je ne s’rais pas plus heureux en ménage.
Ni plus ou moins con…
Et autant amoureux.

La vie est ce qu’elle est
Il pleut un jour sur deux comme en orage
Ou des pierres ou des étrons
Et dans les grands moments, les deux.

J’eus préféré ne pas vivre
Cette putain d’crise de la quarantaine
Ou peut-être que j’aurais aimé
Une fille qui me dise je t’aime.

Vaut-il le coup de poursuivre
Cette route de plaisir et de haine?
Pourquoi continuer à taper
Des textes sur le même thème

Quand je vois les copains
Qui sont normaux, parents, mariés.
Je ne parviens pas…
À les envier.

Je suis si bien dans mon bain
Avec un livre, un whisky,un CD
Sans qu’on gueule papa…
Vient me torcher.

Putain, j’ai un gros coup de blues.
Je ne sais pas si c’est l’âge
Ou tout bêtement…
Le quarantième écueil.

Même si j’avais du flouze
Et des Rolls plein mon garage
De beaux vêtements…
Je tirerai quand même la gueule.

Le temps ne fait rien à l’affaire
Comme l’a dit le grand Georges.
Je suis pareil
Maintenant comme à 10 ans.

Je ne peux toujours pas me taire
Et bave dans les soutiens-gorge
Des merveilles
De 18 à 60 ans.

Bientôt je baverai au home
centre de soins palliatifs
Pisserai dans un pistolet
Ou direct sur l’alèze.

Avec un cancer ou un fibrome
Et la chimio. pour les tifs
Ça devrait pas tarder
Vu qu’je sucre déjà les fraises.

Bon, j’arrête de me répandre
J’atténue les trémolos
Un tiers de vie, ça se fête
Même si ça d’vient de la rengaine.

Je suis pas bon à me pendre
Je suis pas bon, à m’mettre à l’eau
J’arrête de me prendre la tête
On s’retrouve à la cinquantaine

J-L Overney, fin 2010-mi 2011




mercredi 18 février 2015

Heanua



J-Lobotomie


Les Monty Python ont raison
Life is a piece of shit
Mais même si nous sifflons à pleins poumons
Elle nous fatigue très vite

C’est très pénible l’existence
Si l’on est par trop lucide
On prend conscience qu’elle n’a aucun sens
Que ce n’est que du vide

J-Lobotomie
Est la solution
Pour une belle vie
Sans s’poser d’questions
Genre:: Qui suis-je?, Où vais-je?, A quoi bon?
Il suffit, d’un p’tit trou dans le front

Il y a bien sûr d’autres moyens
De se déconnecter le cerveau
La came, la picole et les joints
Font du bon boulot

Un problème avec ces substances
Elles ne sont pas longtemps efficaces
Il arrive que l’on redescende de transe
Sans garder aucune trace

J-Lobotomie
Est la solution
Pour une belle vie
Sans s’poser d’questions
Genre:: Qui suis-je?, Où vais-je?, A quoi bon?
Il suffit, d’un p’tit trou dans le front

Un truc cool, c’est le suicide
Quoique interdit par l’église
Mais quid des gourous et des guides
Je dis: « faites à votre guise ! »

Tant qu’a se faire péter le plot
Autant l’faire chirurgical
Avec un scalpel de près d’vingt kilo
C’est plus efficace qu’une balle

J-Lobotomie
Est la solution
Pour une belle vie
Sans s’poser d’questions
Genre:: Qui suis-je?, Où vais-je?, A quoi bon?
Il suffit, d’un coup de hache dans le front

Nos cellules sont capitonnées
Des rebibs de vos neurones
Dans cet espace personne n’entend hurler
L’anarchie règne dans cette zone

Certains patients sont ressortis
Et ont mené de belles carrières
Etant donné leurs nouveaux Q.I.
Tous flics ou militaires

J-Lobotomie
Est la solution
Pour un beau képi
Sans s’poser d’questions
Genre: Qui suis-je?, Où vais-je?, A quoi bon?
Il suffit, d’un p’tit trou dans le front

La vie est bien plus facile
Quand on a plus à réfléchir
N’ont-ils pas l’air heureux les imbéciles
Avec leur grand sourire ?

Dans notre hôpital psychiatrique
Si le patron vous semble dément
Surtout, surtout, surtout pas de panique
Il est son meilleur patient

J-Lobotomie
Est la solution
Pour une belle vie
Sans s’poser d’questions
Genre:: Qui suis-je?, Où vais-je?, A quoi bon?
Il suffit, d’un p’tit trou dans le front

Bon vol au-dessus d’un nid d’coucou
Chez nous vous serez mieux qu’Nicholson
Car même avec la cervelle comme du moût
On oublie pas la déconne

Stay sane into insanity
Est le slogan d’notre enseigne
Mais notre profonde philosophie
C’est faut qu’ça rigole et qu’ça saigne !
Et qu’ça saigne (ad lib)


J-L Overney, le 9 Juillet 2011




mardi 17 février 2015

Boudica












Les passantes


Je dédie cette satire
A toutes celles qui m’attirent
Pour quelques minutes, ou moins
Toutes celles qui nous font dire
Celle-là, il faut que je la tire
Elle me fout la trique, putain !

Quant nous sommes assis en terrasse
A mater les nanas qui passent
En descendant nos bières
I faut dire qu’on est pas trop classe
Quand nous les traitons de pétasses
Qu’on aimerait bien se faire

Passe la baba à vélo
Pieds nus dans ses gros sabots
Vétue d’un pull népalais
Passe l’étudiante intello
Qui sucotte son stylo
Comme si de rien n’était

Passe la punkette à crête
Livide, maigre, la mine défaite
Fumant, comme de rien, son cône
Passe la Yo à casquette
À l’envers, son rap à tue-tête
Ziva, lui grille trop pas les neuronnes

Passe la mère de famille
Couvant son marmot qui crie
Pour têter ses seins si gros
Passent les troupeaux de jeunes filles
Qui gloussent, fument et babillent
Autours d’un Coca Zéro

Passe l’allumeuse bas résilles
Perchée sur talons aiguilles
Mi-bourgeoise, mi-pute
Passe le boudin des Antilles
Dont le popotin frétille
Qui nous mets tous en rut

C’est à qui sera le plus lourd
En éclusant nos Kronenbourg
Qui sera le plus salace ?
Pas question de parler d’amour
Tout tourne toujours autour
De pulsions dégueulasses

Mais dans nos garconnières blèmes
Le soir seul, on s’avoue tout de même
Qu’elles sont toutes charmantes
Je leurs dédie ce poème
Qui leur dis que je les aime
Toutes ces belles passantes.

J-L Overney, le 4 août 2011

J'ai même pas changé le titre.



lundi 16 février 2015

MOS a Bibl-Otomie


G. Gaz Blaisdell 1932


C’était au temps préhistoriques
Quand les Zippo étaient à gaz
L’ecstasy était euphorique
Et nous riions des métastases
On cramait des mètres de goudron
Dans des concerts non protégés
Pas question de petits bouchons
Contre les… décibels ou MST

C’était au temps des moins d’vingt ans
Quand les Zippo étaient à gaz
Qu’une main glissée sous un collant
Nous rendait plus dingos que Taz.
L’attente transie sous la pluie
Cœur dans la bite et trouille au ventre
Au pied de l’immeuble de la fille
Rongeait comme… le plus doux des chancres

C’était au temps des baladeurs
Quand les Zippo étaient à gaz
Et les MP3 à vapeur
Pour Ipad on disait ardoise
Quand la casette fut des CDs
Les VHS morts de vieillesse
Le vinyle se fit scratcher
Et MTV… mua en clip de fesse

C’était au temps des Madonna
Quand les Zippo étaient à gaz
Tout en noir, on tournait nos croix
A l’envers pour n’pas être naze
Tout était black même les rappeurs
Les idées et Michael Jackson
Puis vinrent les roquets en chaleurs
Et leurs… « Wigs of change » monotones

Le  bon vieux temps du rock’n’roll
Quand les Zippo étaient à gaz
Dans les caves à mus’ et à gnôle
On braillait des hymnes uni-phrases
A l’âge prè-condensatoire
La musique se f’sait à la main
On chourrait les disques des rock stars
Qu’on se copiait… sur des tapes entre copains

C’était le temps des Atari
Quand les Zippo étaient à gaz
Les softs étaient sur un floppy
Clignotant de son ampoule narquoise
Le grand pixel, c’était le dragon
Et le petit, le chevalier
Il fallait d’l’imagination
Dans les donjons… virtuels pour s’éclater.

Nous sommes au temps des nostalgiques
Et les Zippo sont à essence
Les ampoules sont économiques
Et le nucléaire est en transe.
Il faudrait mettre des éoliennes
Pour chauffer les chambre à gaz
Et bruler les croix chrétiennes
Pour….. allumer nos Gauloises

J-L Overney, 12 Avril 2011

A chanter là-dessus.




samedi 14 février 2015

François et Anika

Anika a offert Bibl-Otomie, la Genèse à son mari François Bot.
ça c'est un cadeau intelligent !
Avec une pipe et un cigare, c'est parfait.

Le 14 février

Une petite chanson écrite, il y bien longtemps.

Le 14 février c’est la Saint-Valentin
Et ma sexualité, je la tiens bien en main
Le 14 février, aujourd’hui, je m’en fous
L’année passée encore bien que célibataire
Je caressais ton corps, je m’envoyais en l’air
Le 14 février, je n’tire même plus mon coup


Il n’y a pas de regret à cet anniversaire
Convaincu que c’était la meilleure chose à faire
La corde de l’amour est usée jusqu’au bout
Avec toi, avec elles, à chaque fois je m’ennuie
Plus la moindre étincelle n’allume mon coeur durci
On dirait qu’à sa place il n’y a plus qu’un trou


J’aim’rais être aujourd’hui à l’adolescence
Quand on pense que la vie  contr’ l’amour n’a aucun’ chance
Et être même assez fou pour s’réjouir d’un bout d’chou
Il arrive parfois qu’une fille m’enchante
Que j’lui dise : mademoiselle vous êtes charmante
Mais je pérsévère pas; à quoi bon après tout


Existe-t-elle la princesse qui saura me captiver ?
Mon unique maîtresse me prenant cette liberté
Dont en fait, sans elle, je n’profite pas beaucoup
Dés qu’on est engagé on se sent prisonnier
Dès qu’on s’est évadé on se sent abandonné
Cette banalité ne résout rien du tout


Peut-être suis-je un’ trist’ vie inhospitalière
N’attirant, égoist’, jamais de passagère
De quoi rendre serein ou complètement fou
Quand l’envie n’est plus là et qu’on souhaite  être mort
Mais qu’on en finit pas, l’ennui reste le plus fort
Le 14 février je suis toujours debout


Et c’est triste de n’être plus triste sans vous.


J-L Overney , le 14 février 2002




Et la carte pour votre amoureuse.