vendredi 30 janvier 2015

Joe Skull a reçu Bibl-Otomie

Mon pote Joe me fait un peu de pub sur son site-blog-fb.
Merci Joe.

Mysogine


Je signe chez les misogynes
Je m’élève contre les femmes
On a déboulonné Staline
Renversé Sadam
Mis à terre ces chacals
Les filles, je fais pareil
Leurs statues sur piédestal
Me cachaient le soleil

Tombé le mur de Berlin
Le world trade idem
Je ne crois plus aux câlins
Pas plus qu’aux je t’aime
Combien de morts à Ellis Island
Attirés par la flamme
De la liberté, belle et grande
Tête vide, une vraie dame

Les « tu es mon seul amour » c’est terminé
Les « je t’aimerais toujours » non plus jamais
Mais leurs mentir très à l’aise ah, ça volontiers
C’est pas toujours les mêmes qu’on baise la, la, la, la

Dieu là-haut tout puissant
Je sais que tu es né dans une rose
Arrête de nous inonder de sang
Vive la ménopause
Seule une divinité femelle
Peux manipuler tant d’hommes
Les rendre stupides et cruels
Bien vu, le coup de la pomme

Je sens que ça va être rude
De vivre sans croyance
Plus de politique, plus de certitude
Ok mais… plus de romance…
On peut se passer de tabac
Et paraît-il même de vin
Mais ignorer un cœur qui bat
C’est l’éternel don féminin

Les « tu me fais du bien » c’est terminé
Les « je t’appelle demain » non plus jamais
Les « sois pas crétin » la, la, la, la
Les « c’est juste un copain »
Les « qu’est ce que tu imagines » c’est terminé
Les « j’étais avec une copine » non plus jamais
Les « si t’as pas confiance » la, la, la, la
Les « faut prendre de la distance »
Les « j’veux pas te faire souffrir » c’est terminé
Les « vaux mieux en finir » non plus jamais
Les « c’est mieux comme ça » la, la, la,la
Les « salut pauv’gars »

J-L Overney, le 10 octobre 2006

D'après ceci et celà.



jeudi 29 janvier 2015

Marc a son Bibl-Otomie


Peut-on rire de tout ? LA fameuse question !

Cette dédicace y répond même si le sujet devient de plus en plus compliqué.
Il semblerait que je puisse être soupconné d'apologie du terrorisme si j'en crois cet article.
Je précise donc encore une fois que je condamne toute forme de violence.

Mélanie


Je cherche une fille
Souvenir d’une fille jolie
Mais j’ai comme une amnésie
Je crois qu’elle s’appelle Mélanie
Je cherche une fille

Accoudé au bar
Bientôt l’heure de mon rencard
Très occupé à boire
Bien profond dans le coltard

Une petite bombe blonde
Bille tirée d’une fronde
Bourrée, fin chiée, ronde
S’explose dans mon monde
Le centre du monde

Ses yeux révulsés
À ma bite se sont amarrés
Plus destroy que punk
You are lucky, I m drunk

Je ne sais plus son âge
Je me souviens de ses tatouages
Dansant sur ses seins et sa croupe sauvage
J’étais dans le potage, naufrage

À ma grande surprise
Sans tomber, je l’ai portée et prise
Planté mes incisives
Dans la chair de ses cerises

Oh le métal
Sur son orifice ombilical
Et sur sa langue me fut fatal
M’en fous, même pas mal !

Pour garder courage
J’ai en tête son cri d’abordage
Plus destroy que punk
You are lucky, I m drunk

Déclaré vaincu
J’avais donné tout ce que j’avais pu
Je crois qu’elle n’était pas trop déçue
Je crois qu’elle en avait plein l’dos

On s’est habillé
Je l’ai aidé à faire son nœud de soulier
Elle m’a offert à manger
Et l’on s’est séparés

Devant le bistro
Qui levait l’ancre beaucoup trop tôt
Plus destroy que punk
You are lucky, I m drunk

Je demande aux potes
S’ils voient cette petite sotte
Qui est partie sans que je note
Son nom sur un lot de capote

J’espère la revoir
Sa veste est toujours dans mon armoire
Et j’aimerais savoir
Si elle belle comme dans ma mémoire
Oh ! ma mémoire

Je cherche une fille
Souvenir d’une fille jolie
Je crois qu’elle s’appelle Mélanie


J-L Overney, le 26 septembre 2006

D'après ça.


mercredi 28 janvier 2015

Perdue si tôt


Quand la vie est un désert depuis trop longtemps
Que sans espoir, on erre ballotté par le vent
Un mirage nous apparaît comme un réel point d’eau
Sitôt trouvé, perdu si tôt

C’est ce qui m’est arrivé, mettant fin à mon errance
Je ne pus me résigner à ne pas croire à cette chance
Je voulais vivre dans cette oasis, je n’aurais pas dû
Sitôt trouvée, sitôt perdue

Le bonheur, ça tient à quoi ?
Un verre de rosé au lit
Une fille dans ses bras
Qui fume et qui rit
Le bonheur, c’est aussi simple que ça.
Mais ça ne dure pas.

Je me souviens très bien de l’étrangeté de ses yeux
De la pâleur de ses seins, de la couleur de ses cheveux
C’était un après-midi où il faisait beau
Sitôt trouvé, perdu si tôt

Le malheur, ça tient à quoi ?
Les jours qui se suivent en silence
Une fille qui ne répond pas
Une pénible absence
Le malheur suit le bonheur à chaque fois
Oui, c’est comme ça

De la première gorgée de bière à la dernière femme nue
De la plus profonde misère à la plus haute nue
C’est toujours aussi intense, jamais on ne s’habitue
Sitôt trouvée, sitôt perdue

La vie est binaire, faite de haut et de bas
De paix et de guerre et de la naissance au trépas
Ce n’est qu’un enchaînement de 1 et de 0
Sitôt trouvée, perdue si tôt


J-L Overney, le 21 septembre 2006

Inspiré par ça.


mardi 27 janvier 2015

Une semaine


Une semaine qui commence, une semaine comme les autres
Je poursuis la cadence, une semaine après l’autre
I m’semble que d’puis l’enfance, je n’ai rien fait d’autre
Heureusement, Je suis amoureux


J’y ai pensé tout le mardi, j’ai tenu la distance
Enfin cinq heure et demie, je suis en sa présence
Comme je le craignais, elle me dit qu’elle veut prendre ses distances
Je comprends, ça mène à rien nous deux


Mercredi est brumeux, je pense à cette autre fille
Dont je ne suis pas amoureux, je sais même pas son nom de famille
Je l’aimerais dans mon pieu, mais je sais qu’elle m’oublie
Pour être franc, elle me manquera un peu


Jeudi, j’ai le cœur gros, pour le vider un peu
Je sais ce qu’il me faut ;en parler entre quatre yeux
Mon amie m’envoie, en gros, me faire cuire des œufs
Gentiment, je pense à me foutre le feu


Enfin la fin de la semaine et le premier apéro
Je ne montre pas ma peine, on me trouve rigolo
Elle mêle sa langue à la mienne, c’est seulement quand elle boit trop
Les sentiments, c’est pas dans ce genre de lieu


Samedi, elle a disparu, je ne supporte pas mon haleine
Je crois que je n’ai même pas conclu, des idées de suicide me viennent
Je regarde un film de cul en  maudissant ces chiennes
C’est navrant, je me sens vraiment merdeux


Le dimanche, je me vautre, je ne me suis toujours pas pendu
Un dimanche comme les autres, un dimanche de perdu
Je bois un verre puis un autre jusqu’à ce que je n’y pense plus
Finalement, je ne suis plus amoureux



J-L Overney, mi-septembre 2006

à subir sur ceci.


lundi 26 janvier 2015

Câlins


Il y a une fille qui pour moi compte
J’n’en ai jamais parlé, quelle honte
Dès notre première rencontre
Elle m’a fait de l’effet
Elle est toujours aussi excitante
Mais, de’son amitié, je me contente
Quand elle va flirter en Italie
Y a 1m50 de vide dans ma vie

Refrain
C’est une ‘tite nana géniale
Que l’on entend quand elle braille
Elle te dit tout ce qu’elle pense
Pour ce traitement, pas de dispense
Mais quand elle te prends dans ses bras
Tu t’sens comme au nirvana
En copain
Contre ses seins
Un câlin

Elle a une foule de problèmes
Du fait que les hommes qu’elle aime
N’étaient plus là à son trentième
Et quelque anniversaire
Elle est toujours à l’écoute
De nos soucis, de nos déroutes
Elle, les seules fois où elle s’épanche
C’est après deux trois boutanches

Refrain
C’est une ‘tite nana géniale
Que l’on entend quand elle braille
Elle te dit tout ce qu’elle pense
Pour ce traitement, pas de dispense
Mais quand elle te prends dans ses bras
Tu t’sens comme au nirvana
En copain
Contre ses seins
Un câlin

Bientôt au son de la techno
Une sorte de beau Celentano
À son doigt passera l’anneau
Ça me fera bizarre
Bien sûr je n’souhaite que son bonheur
Mais j’aurais un pincement au cœur
Devant l’église, ne seront pas feintes
Mes larmes, à la dernière étreinte

Refrain
C’est une ‘tite nana géniale
Que l’on entend quand elle braille
Elle te dit tout ce qu’elle pense
Pour ce traitement, pas de dispense
Mais quand elle te prends dans ses bras
Tu t’sens comme au nirvana
En copain
Contre ses seins
Un câlin


J-L Overney, mi-septembre 2006

inspiré de ça.



vendredi 23 janvier 2015

Roman de gare


Tchao princesse et merci pour tout
C’était vraiment sympa
Nous sommes arrivés jusqu’au bout
De ce « il était deux fois »
C’était un roman de gare
Qu’on lit le temps d’un voyage
Une sorte de polar
Avec femme fatale, tueuse à gage

Les histoires courtes sont souvent les plus belles
Regarde Amélie Nothomb
De Stephen King, je ne lis que les nouvelles
Ça lasse quand c’est trop long
Tu es hélas un tirage limité
Une épuisée pièce de collection
Au cœur d’un trop gros pavé
J’espère une prochaine réédition

Refrain
Un bouquin qu’on fini
C’est un peu déprimant
Comme la fin d’une vie
Comme un enterrement
Mais quand même on se réjouit
D’arriver au dénouement
Et d’attaquer le prochain
… Bouquin

Je me souviens de ta lecture
En braille dans mon lit
Du grain de ta couverture
À l’ocre verni
J’aimerais me replonger en toi
Mais tu ne seras jamais
La bible de qui aurait la foi
Mon livre de chevet

Refrain
Un bouquin qu’on fini
C’est un peu déprimant
On a toujours envie
De repousser ce moment
Je te range ma jolie
Comme une œuvre de premier plan
Et j’attaque  le prochain
J’attaque le prochain
…Bouquin…Bouquin…Le prochain Bouquin…Un autre bouquin…

J-L Overney, 6 septembre 2006

à lire .

jeudi 22 janvier 2015

La fille aux yeux Mentadent



Refrain
C’est une histoire de cul
Que je n’ai pas vécu
Elle est loin d’être classe (oh ouoh oh)
Mais putain, ça fait du bien
Et ça fait rire les copains
Une chanson dégueulasse (oh ouoh oh)


Les histoires d’amour
Les plus courtes
Sont toujours les meilleures
Les histoires d’amour
Qu’on écourte
Ne font pas saigner le cœur

Parlé: non, ça la fait pas.

J’la croise tous les matins
Sur l’coup des sept heures
Moi, j’vais prendre mon train
Elle, elle est serveur (D’après Johnny et Goldman)

Petit pont parlé (à la Blues Brother): Et merde i fait chier Johnny
C’est trop intellectuel
On passe à un truc qui chie
Voici Eddy Mitchell!

Je m’astiquais la pomme tout seul
Sur mon Apple
J’en avais ma claque
Sur mon Imac
On s’est connu par un clic
La fille du site Meetic
La webcam montrait pas sa gueule
À la fille Google

Elle aimait les bons restaus.
La fille au goût Mc Do
Elle a dégueulé par terre
La fille au jet Karsher
Je l’ai trouvé vach’ment sexe
La fille aux Kleenex
Je l’ai prise par derrière
Dans l’ascenseur Shindler
(oh ouoh oh)
(oh ouoh oh)

Refrain
Elle me prenait pour mon gland
La fille aux yeux Mentadent
Je la prenais comme une bête
La fille aux dents Colgate
Moi j’étais bien dans sa peau
La fille au cul Cosano
Et je ne m’en privais pas
La fille au trou Cresta

Elle se mange tous les murs
La fille au nez SMUR
S’casse la gueule tous les trois pas
La fille Rega
Car si elle a les yeux blancs
La fille aux yeux Mentadent
C’est qu’elle ne voit rien du tout
La fille Afflelou

(oh ouoh oh)
(oh ouoh oh)

Refrain
Elle est con comme un manche
La fille à la canne blanche
Mais ses airbags m’intéressent
La fille de secours TCS
La levrette elle aime bien
La fille Royal Canin
Et que je  lui bouffe la chatte
La fille Kitekat

Une semaine par mois quand je la baise
La fille Always
I faut un peu forcer
La fille OB
Alors pour qu’elle se relaxe
La fille aux lèvres Tempax
Je lui mâchouille le clito
La fille Haribo

(oh ouoh oh)
(oh ouoh oh)

Refrain

Un jour, j’ai giclé trop fort
La fille au trou Ceylor
Mais elle n’a rien pigé
La fille IVG
Elle a vêlé après six mois
La fille aux seins Blédina

Je ne l’ai jamais revue
Et bien sûr, elle non plus

J-L Overney, le 31 août 2006
d’Eddy Mitchell




mercredi 21 janvier 2015

Je suis d'ailleurs page 3 et 4




La vouivre


Je vis un conte de fée
Enfin, une belle histoire
Le problème c’est que la fée
Ne doit pas le savoir

Ça déclencherait l’alarme
Dedans sa tour d’ivoire
Abolirait le charme
Changerait le rêve en cauchemar

Ce n’est qu’un petit récit
Qu’on raconte aux enfants
Mais du fond de mon lit
J’y pense en m’endormant

Maintenant je suis grand
Je ne suce plus mon pouce
Et je dors en rêvant
À sa peau de rousse

Refrain
La fille aux cheveux de cuivre
M’a soudain fait revivre
Elle a fait fondre le givre
Comme la bonne fée des livres

La fille aux cheveux de cuivre
Me donne envie de la suivre
Elle a le regard de la vouivre
Un simple coup d’œil m’enivre

Je ne suis pas Galaad
Je ne suis pas Perceval
Ça m’rend pas trop malade
De ne pas trouver le Graal

J’ai eu des coups durs
Et j’ai été salaud
Cocu comme Arthur
Et amant comme Lancelot

Elle est belle comme Guenièvre
Attirante comme Morgane
J’suis prisonnier de ses lèvres
Comme Merlin de Viviane

J’en fais une saga
J’en rajoute un peu
Mais j’adore passer mes doigts
Dans ses cheveux de feu

Refrain

J’étais le petit poucet
Qui a perdu ses cailloux
Errant dans la forêt
Effrayé par le loup

Maintenant je n’ai plus peur
Grâce à ma Cendrillon
C’est moi le prédateur
Prends garde joli chaperon

Elle est un peu Blanche-Neige
Changée en méchante reine
Quand je la prends au piège
Et qu’elle se déchaîne

Hansel et Gretel
Aimaient le pain d’épice
Moi mon rayon de miel
Se cache entre ses cuisses

Refrain

Jadis une gorgone
M’avait pétrifié le cœur
Les flèches  de cette amazone
I ont remis de la chaleur

Contrairement à Atlas
Je ne porte plus le poids du monde
Et je me délasse
Même quand Odin gronde

Zeus et Jupiter
Et Icare sont les mêmes
On ne touche plus terre
Aussitôt qu’on aime

Je peux finir comme Achi-
Le à la guerre de Troyes
Car j’ai une Walkyrie
Pour le Walhalla

Refrain

Ce n’est qu’une petite romance
Un songe d’une nuit d’été
Une ballade de plaisance
Pas une Odyssée

Pas Pénélope et Ulysse
Ni Roméo et Juliette
Ni son étang et Narcisse
Ni Marius et Cosette

Ce n’est qu’un doux poème
Dont la seule prétention
Et de dire je t’aime
Enfin j’ai l’impression

Et nous verrons bien
Si de sa tour d’ivoire
La femme qui me fait du bien
Veut continuer l’histoire

Si la femme aux cheveux de cuivre
A envie de poursuivre…

J-L Overney, le 16 Août 2006

D'après ceci.




mardi 20 janvier 2015

Nit 3




La fille aux cheveux orange


La fille aux cheveux orange
Ne m’a jamais promis les anges
Elle a tout de suite été franche
Et n’m’a proposé que ses hanches

La fille du buffet express
Mes déclarations la stressent
J’espérais de la tendresse
Mais ce n’était qu’une histoire de fesse

Nous nous crois’rons de temps en temps
Quand des amis nous invit’ront
Je cacherai mes émotions
Et je cacherai mes sentiments

La fille a la lèvre percée
Ne m’a jamais fait miroité
Autre chose qu’une baise d’été
Et même ça, je l’ai gâché

Je veux dire à cette fille
À quel point, je l’apprécie
C’est pas l’coup de foudre des séries
Je veux la garder comme amie

Nous nous crois’rons de temps en temps
Peut-être referons-nous l’amour
Je me réjouis de ce jour
Où j’n’aurais plus de sentiment

La fille aux cheveux orange
Ne m’a jamais promis les anges
Elle a tout de suite été franche
Et n’m’a proposé que ses hanches

La fille du buffet express
Mes déclarations la stressent
J’espérais de la tendresse
Mais ce n’était qu’une histoire de fesse

J-L Overney , le 25 juillet 2006

Désolé pour ce chef d'oeuvre.



lundi 19 janvier 2015

Nit 2



Le temps qui passe


REFRAIN
Le temps qui passe  passe de plus en plus vite
L’été nous paraît de plus en plus court
Nos illusions et nos espoirs prennent la fuite
On se force à croire encore à l’amour

Mes souvenirs d’enfants
Sont un peu flous
Mais plutôt à mon goût
J’aime mes parents
Et j’aime mon chat
J’fais des cabanes dans les bois

Les vacances d’été
Sont interminables
J’ai reçu un nouveau cartable
Un de grand , un vrai
J’ai un peu les j’tons
En 2000 je serais un vieux croûton

REFRAIN

Ouaip j’ai de la moustache
Et les filles ont des seins
En ce moment j’en tiens un dans ma main
On joue à cache-cache
On s’roule des patins
Et je bande aussi dur qu’au matin

Côté sentiments
On s’en prend plein la gueule
Chaque rupture nous laisse encore plus seuls
Adolescent
Pour trouver ta moitié
T’as intérêt à te dépêcher

REFRAIN

Passé l’an 2000
On a pas trop changé
Certains diraient pas évolué
Fini les idylles
On a fait une croix dessus
On sait se contenter de plans culs

Dimanche avec toi
C’était un arrangement
On mélange nos corps un moment
Crois le ou pas
Je te dis sincèrement
Je n’ai pas vu passer le temps




J-L Overney , le 7 juillet 2006

d'après ceci.



samedi 17 janvier 2015

Je suis d'ailleurs page 2

Je continue à faire de l'ordre dans mes projets.
Une petite BD commencée il y a 5 ans.




vendredi 16 janvier 2015

I fait beau


I fait beau, je revis et c’est cool
Et la vie s’écoule tranquille sous mes yeux
I fait beau, et le monde qui s’écroule
Dans la ronde des maboules m’importe peu.

Un rayon d’espoir
Dissipe le brouillard
I fait beau je n’ose pas y croire
Je vais être égoïste
Et vivre en hédoniste
J’ai tant de bonheur en retard
Laisse-moi oublier un moment
L’hiver, le mauvais temps
Et mes idées noires

On est bien toi et moi
Sur un fameux trois-mâts
Serres-moi encore dans tes bras
La bise se lève
On vit comme dans un rêve
Le reste du monde n’existe pas
Laisse-moi oublier un moment
Que pendant ce temps
Des boat people se noient

I fait beau, je revis et c’est cool
Et la vie s’écoule tranquille sous mes yeux
I fait beau, et le monde qui s’écroule
Dans la ronde des maboules m’importe peu.

Dans les pupilles
De toutes les filles
Y a du soleil qui brille
Elles montrent leurs strings
Et leurs piercings
Les regarder me donne des envies
Laisse-moi oublier un moment
Que pendant ce temps
On viole et on pille

On en peut plus
De baigner dans notre jus
On se met torse nu
Le soleil nous brûle
C’est la canicule
Même après une douche froide on sue
Laisse-moi oublier un moment
Que pendant ce temps
On torture et on tue

I fait beau, je revis et c’est cool
Et la vie s’écoule tranquille sous mes yeux
I fait beau, et le monde qui s’écroule
Dans la ronde des maboules m’importe peu.

Entre copains
Qu’est-ce qu’on est bien
Une grillade dans le jardin
On donne au chat
Le reste de cervelas
On s’f’ras une fondue avec le pain
Laisse-moi oublier un moment
Que pendant ce temps
Des gens meurent de faim

Fini le taf
Passe-moi la carafe
Putain, i fait une de ces tiaffes
Il est frais le rosé
Il nous fait chanter
On commence à être un peu paf.
Laisse-moi oublier un moment
Que pendant ce temps
Des gens meurent de soif

I fait beau, je revis et c’est cool
Et la vie s’écoule tranquille sous mes yeux
I fait beau, et le monde qui s’écroule
Dans la ronde des maboules m’importe peu.

Surveille la gamine
Elle a la peau si fine
De crème solaire, on la tartine
C’est son premier été
I faut pas le gâcher
Mais non t’inquiète, elle a bonne mine
Laisse-moi oublier un moment
Que pendant ce temps
Des gosses crèvent à la mine

J’adore cette saison
Elle donne l’illusion
De vivre dans une chanson
Pleine de bonheur
Loin des cris et des pleurs
Je refuse de me faire une raison
Laisse-moi oublier un moment
L’hiver et l’mauvais temps
Qui bientôt reviendront

I fait beau, je revis et c’est cool
Et la vie s’écoule tranquille sous mes yeux
I fait beau, et le monde qui s’écroule
Dans la ronde des maboules m’importe peu.



J-L Overney , le 15 juin 2006

A reprendre la-dessus.



jeudi 15 janvier 2015

From Hell with Love, l'intégrale infernale

Dessin et moitié des scénarios de OPA.
La fiche-produit ici ou contactez-moi.



1998

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Une aventure de Humber Richardson, garagiste

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Strip-otomie 1

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Ma meilleure vente, ce doit être pas trop mal.


Prizon

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Le Bébé d'Alicia

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Le Grand Maître

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La Passion du Christ

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Invictus


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Love her to Death

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Calendrier de l'Avent 2011

Utilisable chaque année.
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